Dans l’agriculture, en cas de divorce, l’exploitation reste, dans la grande majorité des cas, propriété de la famille. Selon une enquête par la BFH-HAFL, dans 83 % des cas, un des époux continue à gérer le domaine. L’exploitation étant le pilier de la vie des familles paysannes, en cas de divorce, on veille à garantir sa pérennité au sein de la famille.