La Revue UFA a posé trois questions à Tiziana Vonlanthen sur le thème du sorgho. L'accent a été mis sur l'analyse fourragère de différents échantillons de sorgho envoyés.

La teneur en énergie du maïs, très bien valorisée par les ruminants, est appréciée par les exploitations détenant du bétail.

Un élément important pour l’état sanitaire des champs

Nombre d'agriculteurs·trices utilisent les céréales comme une sorte de «culture de nettoyage».

La Revue UFA a posé trois questions à Stève Breitenmoser, collaborateur technique et scientifique, groupe de recherche en entomologie à Agroscope, sur la chrysomèle des racines du maïs et les risques d'une infestation en Suisse.

Pour de bons rendements, beaucoup de cultures dépendent des insectes qui les pollinisent : les abeilles mellifères et une foule d’autres pollinisateurs sauvages de la plus grande importance. Ayant des périodes de vol différentes et des tolérances spécifiques aux variations de températures, ceux-ci optimisent la pollinisation.

A partir de 2024, la marge de tolérance admise dans les bilans de fumure pour l’azote et le phosphore sera supprimée. Dès 2023, il sera déjà possible d’abaisser volontairement à 90 % les apports d’azote. Pour respecter cette prescription, il existe différents moyens auxiliaires.

La pyrale du maïs est le principal ravageur des cultures de maïs. Le lâcher de guêpes trichogrammes et le travail des chaumes, qui permet d’éviter la formation de refuges pour la pyrale du maïs, sont des méthodes de lutte efficaces.

La Revue UFA a posé trois questions à Robert Finger, professeur d'économie et de politique agricoles à l'EPF de Zurich, sur les défis de la numérisation, les différences à cet égard entre les exploitations et les raisons pour lesquelles le service de vulgarisation est toujours nécessaire.

Misant sur les énergies renouvelables et la durabilité, fenaco a posé plus de 80 installations photovoltaïques en collaboration avec Agrola AG – preuve tangible des responsabilités qu’elle assume en matière de respect de l’environnement.

L’été sec a mis à rude épreuve de nombreux pâturages ou prairies. S’étant parfois desséchée, la couche herbeuse a dû se reconstituer, laissant la place aux adventices ou plantes herbacées à faible valeur fourragère. C’est que les racines des adventices mobilisent l’eau dans les couches très profondes du sol.