Lors de la réunion de rédaction où nous avons discuté des sujets à traiter dans la présente édition, j’ai d’abord ressenti une certaine nervosité à l’idée d’aborder celui de l’édition génomique : il me faudrait aborder un domaine extrêmement complexe, qui non seulement soulève de nombreuses questions, mais suscite également de fortes émotions. C’est également mon cas puisque j’ai travaillé dans la recherche génétique ; je connais donc bien ce sujet.