Pour être en adéquation avec le potentiel génétique actuel des porcs, les apports nutritifs doivent être adaptés de manière optimale à leurs besoins, au cours de chaque phase. Des apports excédentaires surchargent le métabolisme, le climat et le bilan de fumure. Un sousapprovisionnement réduit les performances tout en pesant sur la qualité et la rentabilité. Parallèlement à cela, la pression politique exercée en vue d’une utilisation plus restrictive des ressources naturelles augmente.