Lorsque les prix des engrais et des carburants augmentent, les principes de base de l’agriculture biologique gagnent en importance pour l’ensemble de l’agriculture. Ainsi, par exemple, la fertilité du sol est directement liée à la quantité de carbone qui y est fixée.

La mesure par spectroscopie réalisée directement au champ est une alternative moins chère que l'analyse laboratoire.

Toute personne qui cultive la terre aura sa propre définition de la fertilité. Il se peut même que les opinions divergent sur cette notion, car les approches sont multiples. Le but final doit être de maintenir cette fertilité.

Seul un sol vivant est fertile et peut donc produire des fruits. La vie du sol est indispensable à sa fertilité. Mais que peut-on faire pour créer un milieu favorable aux organismes vivants dans un sol agricole productif ?

Préserver ou améliorer la fertilité des sols est un aspect toujours plus important, notamment dans le cadre de l’agriculture durable. Il est essentiel de connaître la structure du sol et d’avoir conscience que toutes les mesures de gestion agricole ont une influence positive ou négative sur cette structure.

De nombreux facteurs influencent la vie et la structure du sol. La période après les moissons est idéale pour pratiquer un chaulage sur les parcelles, afin de corriger ou de maintenir le niveau de pH. La matière organique joue également un rôle important dans la fertilité à long terme du sol et mérite une attention particulière.

L’humus est une source de nutriments à libération lente pour les plantes. La teneur du sol en matière organique est étroitement liée à la fertilité de celui-ci. Par conséquent, augmenter la teneur en humus permet d’accroître le potentiel de rendement, même si ce processus prend du temps.