Les légumineuses destinées à l’alimentation humaine comme les lentilles et les pois chiches figurent de plus en plus fréquemment au menu. Elles sont riches en protéines, savoureuses et peuvent être cultivées sans problème en Suisse. En général, ces cultures sont plutôt peu exigeantes, mais certains points doivent néanmoins être observés.

La fermentation de déchets organiques d’origine agricole dans un digesteur permet de produire du biogaz, destiné à rejoindre le réseau de gaz naturel ou à alimenter la production d’électricité. Outre son intérêt énergétique majeur, ce processus présente aussi l’avantage de former en fin de transformation un résidu, le digestat, dont la composition chimique en fait un excellent engrais, de surcroît inodore.

Les bases du raisonnement de la fertilisation PK reposent sur quatre critères : l’analyse de sol, l’exigence et les besoins de la culture à venir, le passé de fertilisation et la restitution ou non des résidus de récolte du précédent.

Les engrais verts procurent divers avantages : ils améliorent la structure du sol, fournissent des éléments nutritifs et concurrencent les adventices. Le choix du mélange dépend de l’effet recherché. Il faut également tenir compte de la composition des espèces au sein de la rotation.

Dans le cadre de la série de projets «De paysans à paysans», Wissensmanagement Umwelt a produit trois nouvelles vidéos sur le thème de la protection des plantes. Les protagonistes racontent comment ils et elles optimisent l’utilisation des produits phytosanitaires pour un environnement protégé sur leur exploitation, en les réduisant progressivement, parfois même jusqu’à leur abandon. Ils parlent des défis à surmonter et des avantages apportés par les nouvelles stratégies de protection des plantes. Des expert-e-s issu-e-s de la pratique, de l’administration et de la recherche dans les domaines de la protection de l’environnement et de l’agriculture ont accompagné le projet de près. Ces vidéos sont dès à présent à disposition pour les réseaux de paysans et les écoles d’agriculture.

IP-Suisse introduit son système à points pour la protection du climat et des ressources. Le but: Les émissions de gaz à effet de serre doivent diminuer d’ici 2025 de 10 pourcents sur la moyenne de toutes les exploitations labellisées.

La demande en colza d’automne est plus élevée que jamais. Les rendements de la dernière récolte n’ont cependant pas répondu aux attentes. La « liste recommandée des variétés de colza d’automne » aide à choisir les meilleures variétés. La recherche redouble par ailleurs d’efforts en vue de proposer des variétés offrant des rendements stables et d’émettre des recommandations favorisant une culture durable.

Les engrais de ferme sont une source importante d’éléments nutritifs dans l’agriculture suisse. Ils couvrent 60 % des besoins en azote et 85 % de ceux en phosphore. Il est dans l’intérêt des exploitants d’épandre ces engrais efficacement et avec le moins de pertes possible, ce qui nécessite une certaine planification et gestion de la rotation.

La famille Jordi gère un domaine situé à proximité immédiate du centre-ville de Bâle. L’endroit est souvent très animé. Ce domaine est en effet situé au milieu d’une zone de détente très prisée de la population urbaine.

Les productrices et producteurs de betteraves sont confrontés à de nombreux défis. D’une part, le réchauffement climatique favorise l’apparition de nouveaux ravageurs et nouvelles maladies, alors que dans le même temps, le nombre de matières actives retirées ne cesse de croître. Le Centre betteravier suisse et différents instituts de recherche collaborent afin de développer des méthodes de lutte alternatives.