Un robot qui désherbe, fertilise et épand des produits phytosanitaires : telle est la vision de la start-up Ecorobotix, basée à Yverdon, dans le canton de Vaud. Son pulvérisateur porté ARA est déjà sur le marché. Cette avancée technologique permet d’utiliser jusqu’à 95 % de produits phytosanitaires en moins grâce à des capteurs et à l’intelligence artificielle.

La société Ramseier Suisse AG a enregistré en 2021 un chiffre d'affaires brut de 156.4 millions de francs, soit une légère augmentation de trois pour cent par rapport à l'année précédente.

Malgré le tarif réduit durant la nuit, une exploitation laitière consacre toujours environ 20 % à 25 % de son budget électricité pour la préparation d’eau chaude. Un chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) permet de réduire ces coûts jusqu’à 50 %. Ces équipements font actuellement l’objet d’un programme de promotion d’AgroCleanTech.

Depuis un demi-siècle, le programme UFA2000 soutient la compétitivité des détenteurs·trices suisses de porcs grâce à une collaboration entre UFA et Anicom. Cet anniversaire est l’occasion d’une rétrospective, une démarche qui coïncide avec un retour prometteur à la rentabilité dans la filière porcine en 2024.

Ramseier Suisse SA clôture 2024 sur un exercice très positif. Le chiffre d’affaires brut s’affiche en hausse, à CHF 168 millions, malgré l’été pluvieux. Faisant suite à des années de récoltes de fruits à cidre plus modestes, 2024 constitue une très bonne année. Ramseier Suisse SA a en outre réalisé des économies de CO2 supplémentaires.

Le colza est considéré comme l’une des cultures les plus exigeantes en agriculture biologique, notamment en raison des ravageurs qui l’attaquent. En l’absence d’insecticides, la tolérance des variétés à une infestation par des ravageurs est un levier d’action important pour garantir le rendement. Jusqu’à présent, les connaissances concernant cette tolérance faisaient défaut.

Considérant les phénomènes croissants de sécheresse et de chaleur, il est essentiel de choisir des variétés adaptées ainsi que de recourir à une sélection végétale moderne en vue de garantir les rendements des grandes cultures et d’assurer la sécurité alimentaire à long terme. A cet effet, il est aussi possible d’opter pour des cultures alternatives. Et pour que ces mesures réussissent, il est nécessaire que tous les acteurs·trices de la filière et de la politique agricole s’impliquent.

Le métier de viticulteur·trice exige une connaissance approfondie du cycle de la nature, de la croissance des vignes et de la production du vin. Noah Kamm suit une formation de trois ans. Il y apprend l’importance du travail dans les vignes pour la qualité du vin et comment les techniques viticoles traditionnelles et celles modernes s’imbriquent.

Comme apprenti, Lian Born est chargé de veiller au bon fonctionnement des tracteurs et des machines. A côté du savoir technique, son travail demande aussi de la persévérance et le sens de la collaboration.

Les cartes numériques pourraient bientôt être une aide précieuse dans la lutte contre les rumex : un drone cartographie le champ et transmet les positions des rumex directement sur le smartphone. Un prototype de la Haute école spécialisée de Suisse orientale va encore plus loin : à l’avenir, il agira de manière autonome avec de l’eau chaude contre les plantes indésirables.