Chez les truies, le stress thermique s’exprime par une respiration haletante et des durées de repos prolongées. Elles réduisent également leur ingestion pour abaisser leur propre production de chaleur. De ce fait, elles produisent moins de lait, péjorant le poids des porcelets. La fréquence respiratoire constitue un bon indicateur du stress thermique : au-dessus de 30 respirations par minute, le bien-être est fortement entravé.