Chaque année en Suisse, près de 7500 personnes sont victimes d’accidents agricoles – dont 25 sont mortels. La mise en place de mesures ciblées et une culture préventive de la sécurité permettent de réduire les risques et d’éviter les accidents graves. Trois actions concrètes aident à atteindre cet objectif rapidement et efficacement.

La gestion des risques permet d’identifier les risques à temps et de s’en prémunir de manière ciblée. Une démarche structurée s’avère particulièrement judicieuse dans le cadre d’une cession de ferme, de la réalisation d’investissements ou de l’adoption de nouveaux domaines d’activité. Assurer tous les risques serait cependant excessif : l’essentiel réside dans une évaluation pertinente et bien réfléchie.

De nombreuses paysannes suisses contribuent de manière déterminante au revenu familial en exerçant une activité lucrative en dehors de l’exploitation agricole. Le revenu de cette activité professionnelle étant assuré, il offre la possibilité de constituer une prévoyance vieillesse indépendante. Vaut-il dès lors la peine de d’externaliser les tâches domestiques en les confiant à une tierce personne ?

L’homéopathie occupe une place croissante dans les étables suisses. Thérapie complémentaire parmi les plus connues, elle est mise en œuvre avec succès dans le secteur des animaux de rente.

L’engraissement des vaches de réforme gagne en importance dans l’agriculture suisse. Partant d’une alimentation adaptée et de conditions de garde appropriées, cette branche d’exploitation peut devenir économiquement intéressante.

Bon nombre d’exploitations se diversifient et se lancent dans des activités para-agricoles. Les possiblités sont nombreuses et les revenus varient selon le type d’activité pratiqué. Quelques difficultés doivent aussi être surmontées.

Mais comment appeler une vache ? Contenant des noms suisses de vaches présentés par ordre alphabétique. 

En 2019, fenaco a réalisé des investissements pour un total de plus de 150 millions de francs. Sur ce montant, plus de 50 millions ont été directement investis pour l’agriculture suisse productive et bénéficient ainsi directement aux agricultrices et aux agriculteurs suisses.

En Suisse, les dindes d’engraissement et les cailles d’élevage sont des productions de niche. Les consommateurs apprécient cependant de plus en plus la viande de dinde et les œufs de caille. Mais quelles sont les particularités de ces branches de production et à quoi faut-il être attentif en élevant ces deux espèces avicoles ?

Cet été, le constructeur de machines Kuhn a présenté ses nouveautés en avant-première près de son centre situé à Saverne en Alsace.