Identitas SA a, comme prévu, renoué en 2023 avec les bénéfices, garantissant ainsi sa capacité d'innovation à long terme. Lors de la 25^e Assemblée générale, le Conseiller fédéral Guy Parmelin a souligné l'importance de l’entreprise, dont la mission est de gérer les données dans les secteurs animalier et environnemental de manière sécurisée, transparente et orientée vers le marché.

Identitas SA publie de nombreuses statistiques animales et met à disposition du public, dès à présent, de nouveaux jeux de données pour les bovins, les ovins et les caprins avec les catégories « mort-nés selon le sexe » et « mort-nés selon le type d’utilisation ». Identitas SA répond ainsi aux besoins de la recherche, des détentrices et détenteurs d’animaux ainsi que des fédérations d’élevage.

Identitas SA clôt le premier exercice après la nouvelle législation avec un chiffre d'affaires de 15,7 et une perte de 1,0 million de francs suisses pour l’année 2022. Identitas SA doit désormais financer elle-même et assurer de manière autonome l’exploitation et le renouvellement de la banque de données sur le trafic des animaux (BDTA).

A partir de début de l’année 2023, Identitas SA facturera des émoluments plus élevés, notamment pour la livraison de marques auriculaires, l'enregistrement des équidés et la notification d’abattage. Ceux-ci sont adaptés et fixés dans l'ordonnance révisée concernant Identitas SA et la banque de données sur le trafic des animaux (OId-BDTA), que le Conseil fédéral a adoptée le 2 novembre 2022. Celle-ci entrera en vigueur au 1^er janvier 2023.

Les détentrices et détenteurs d'ovins et de caprins doivent désormais indiquer le type d'utilisation des animaux mères dans la Banque de données sur le trafic des animaux (BDTA). L’approbation du train d'ordonnances agricoles 2021 par le Conseil fédéral a été mise en application le 2 décembre 2021 par la société exploitante de la BDTA, Identitas SA.

Depuis janvier 2021, Identitas SA comptabilise le temps que les détenteurs et détentrices d’ovins et de caprins mettent à notifier leurs animaux dans la banque de données sur le trafic des animaux (BDTA). Le mois de juin démontre qu'ils mettent déjà consciencieusement en œuvre l’obligation d’enregistrer les animaux introduit en janvier 2020.