Ce qui, à première vue, ressemble à une nature immobile est en réalité un système dynamique. En effet, les surfaces herbagères respirent : elles absorbent du CO2 , en rejettent, stockent du carbone dans le sol ou en perdent. Et qu’en est-il du N2O ? Une équipe de recherche de l’EPFZ éclaire pour la première fois les mécanismes à l’œuvre et présente des solutions pratiques montrant comment l’agriculture peut contribuer à réaliser l’objectif de zéro émission nette.